Alors bon vent et vogue la   ...

... et paf ! L'accueil que j'avais mis a disparu... euh! Ou plutôt,  j'ai fait une erreur de manipulation !

vMais je dois m'y faire avec cette chocolette

   La toute petite fée, qui avait encore rapetissé à l'occasion (elle était maintenant microscopique,ou presque !) - si on peut la nommer ainsi, vu qu'elle est tout juste capable de transformer une tablette de chocolat en chocolat de fête - se trouva, subitement dans un tourbillon d'énergie et d'ondes ainsi que dans un enchevêtrement incommensurable de dendrites, de synapses et d'axones ! Borborygmes odorants, bruits chatoyants et sons chromatiques se bousculaient de parts et d'autres. Elle se sentait assaillie en même temps qu'elle fut (du moins le croyait-elle) prisonnière d'une mélasse gluante et filandreuse.

- Malheur ! Me voilà encore à la merci d'une de ces "minasse" maléfique ! serait-ce encore la sorcière Arakcirce ?

   Mais non ! Et une fois de plus, la petite Logocyne s'était trompée. Sa curiosité l'avait emporté oen ne sait où...

 ( La suite au prochain post...quand j'aurai attrappé un morceau de temps en son vol )

"Merci Seigneur pour tous vos bienfaits !

Gardez nos âmes dans la paix !

et que nos coeurs joyeux Vous chantent à tout jamais !"

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un comme un nain

deux amoureux

trois , c'est le roi

quatre dans l'âtre

cinq essences trinquent

six choisissent

sept violettes

huit prend la fuite

en boucle infini

neuf tout neuf

comme un bébé

dix à la peau lisse

et avec eux 

jusqu'à l'infini

                                              Au-dessus des étangs, au dessus des vallées,

                                              Des montagnes, des bois, des nuages, des mers.

                                              Par delà le soleil, par delà les éthers.

                                              Par delà les confins des sphères étoilées.

                                              Mon esprit, tu te meus avec agilité,

                                             Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde,

                                             Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde

                                             Avec une indicible et mâle volupté.

                                             Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ;

                                            Va te purifier dans l'air supérieur,

                                            Et bois, comme une pure et liquide liqueur,

                                           le feu clair qui rempli les espaces limpides.

                                          Derrières les ennuis et les vastes chagrins

                                          Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse.

                                          Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse

                                          S'élancer vers les champs lumineux et sereins;

                                          Celui dont les pensers, comme des allouettes,

                                          Vers des cieux le matin prennent un libre essort.

                                          _ Qui plane sur la vie, et comprend sans effort

                                         Le langage des fleurs et des choses muettes !

                                                                                                           Charles BEAUDELAIRE

 Ce magnifque poème me transporte de bonheur au delà des miasmes politico-burlesques, des querelles "incaritables" et incurables, des mesquineries et des arts visuels et auditifs "débilisants".

installons nous dans ce poème avec Beaudelaire. Laissons nous transporter, élever au dessus de nos mondes, au dessus de nos flots gris et nos cieux déchaînés, au dessus des nuées incandescantes et des astres ternies pas la sciences. Echappons nous un instant plus loin que l'univers visible (et c'est bien là que le poète veut nous élever)...

Nous décollons de plus en plus haut dès les deux premiers vers

le nuage se gonflait de blanc en neige et courrait sur la piste ensoleillée de lumière irisée des sept jours de Dieu...

réfléchir avec le cerveau ennuagé de sommeil... même à la mort on ne le peut. Bbbrrrr, ça fait trop peur , mieux vaut songer à l'Enfant Jésus et à sa douce Mère, à l'Amour vrai, source de joie et de vie...

bonne nuit

J'aime énormément tout ce qui concerne la Création . Mais ce mot si beau, si grandiose, fait appelle à beaucoup de connaissances ! 

La Création !   c'est vaste ! c'est le cas de le dire . vaste sujet !  puisque tout vient de Dieu !

Dieu, être infiniment bon et infiniment parfait, doit sourire (et parfois faire les gros yeux) de tous ces scientifiques, et même du tout venant, qui se torturent l'esprit pour savoir quelle est l'origine du monde. On parle d'une explosion formidable qui, par miracle, aurait fait naître tout ce qui est et tout ce qui vit autour de nous ! Mais comment voulez-vous qu'un objet sans vie puisse donner la vie ? Que dis-je ? Est-ce possible que rien ou presque, qu'une petite particule ultra microscopique, ait pu faire exister tout ce qui nous entoure : des galaxies au moindre petit brun d'herbe ?

Il faut une volonté pour faire toutes ces merveilles. Est-ce qu'un caillou, voire un atome est doté d'un bon vouloir ? moi je dis que c'est impossible. Ou si c'est possible, il aura fallu une volonté pour donner à ce minuscule caillou tout le potentiel d'existence et de vie pour se transformer. Or, seuls les êtres vivants ont une volonté, en particulier les hommes.C'est donc un être qui a créé. Mais un être infiniment puissant, bien au-dessus de toute créature, voire de toute créature humaine. C'est inimaginable tout ce que les hommes peuvent faire, peuvent inventer. et je ne parle pas de leur langage et de leur pensée qui est d'une précision exceptionnelle. Mais même le plus intelligent de tous les humains ne pourrait pas créer (c'est à dire faire avec rien, engendrer la vie avec un peu de la boue!). 

Au delà de l'humain il y a le divin ! 

Oui, seul Dieu  a pu nous offrir tout ce qui nous entoure ! 

Ce que je veux, ce n'est pas vous donner des preuves scientifiques (et j'en suis bien incapable!), mais vous dire pourquoi Dieu a tout créé :

Tout simplement par AMOUR !

par amour pour nous !

l'Amour vrai est un mouvement de l'âme qui pousse à faire ce qui est bon et bien . c'est donc le moteur, je dirai même l'essence de cette création

oui, c'est essentiel !

A plus tard...

des lyres je tire mes délires, du pire mes soupires ...

tire ma tirelire de délires sans rire ou pour rire...

mes dires, mes ires virent au rire... 

bon je vais ranger mon beau bazard et voilà !

Tout va mal dit-on !

Plus de valeur !

"Ni Dieu, ni maître!"

Mais hélas Satan essaie de régner en maître !

Saperlipopette ! oser accuser le bon Dieu de nos malheurs ! ou plutôt, oser le nier parce qu'il y a des souffrances ! et il y en a !

Evidemment si on ne croit même plus au diable, il ne reste plus que le bon Dieu à accuser ou à nier !

Songez-y...

Tout à trac

toute patraque

à l'attaque 

d'un microbe furieux !

mise en feux !

un peu barbouille

Donc sans gribouille...

dans ma brousse 

moi qui tousse

sans force ni arrêt

Patientez 

s'il vous plaît,

bons lecteurs !

       ...Les eaux tumultueuses de la Petchora s'assombrissaient sous le voile nocturne qui s'étendait peu à peu. Le soleil brillait encore, quoiqu'il fut rougeoyant. Son disque glissait paisiblement et revêtait la vaste étendue neigeuse d'un manteau rosé, ce qui émerveillait le jeune Cyriac. le paysage ressemblait à celui d'un conte de fées. des aurores boréales venues des profondeurs de cieux inconnus semblaient valser telles des danseuses russes évoluant lors de ballets slaves...

ils se plaquèrent contre le murs, attendant, haletant, que le danger -humain- fut passé...

Voici un poème pour enfant écrit pendant mon petit déjeuner, devant une brique de lait, le 8 mars 1992, vers 8h du mat, avant d'aller à la fac (ou au travail) :

Une échevelée vache à lait

Qui flânait un matin d'été

Aperçut une voie lactée :

"Ma foi, ce très alléchant lait 

Doit être d'un céleste goût

Mais qui, de mes sages compagnes

"Badaudant" parmi nos campagnes

Fournit ce lait onctueux ? Tout

Me rend perplexe en ce bas monde;

Songea la vache qui peu à peu 

Devenait philosophe. Un peu

Moins vache...elle tourna dans la ronde...